La manucure impeccable est devenue un diktat supplémentaire pour les femmes. Comme indiqué, pour certaines, c’est un détail qui donne confiance en soi. Désirée KOFFI, domiciliée à Abidjan Côte d’Ivoire, épouse et mère de deux enfants, exerçant dans le domaine de la communication, exprime sa passion pour l’esthétique à travers l’onglerie. CEO de Dior esthetik by la lionne, salon spécialisé dans l’onglerie, Désirée KOFFI nous dévoile des détails de son activité qu’elle juge lucrative.
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Désirée KOFFI, amoureuse de la coquetterie et faisant attention à la beauté des ongles de mains et de pieds a décidé de se former au métier de prothésiste ongulaire malgré qu’elle n’entend pas pour l’heure en faire son métier vu qu’elle est salariée. Sa devise, c’est toujours d’avoir une petite maîtrise du secteur d’activité dans lequel on veut investir. Il était important pour notre féline d’avoir les connaissances basiques quant à l’onglerie. Elle se voyait cette professionnelle qui pourrait entretenir la beauté des ongles, mais aussi de leur apporter des soins nécessaires lorsqu’ils sont dédoublés, cassés ou abîmés. Malgré le personnel qu’elle emploie, Désirée s’investit dans la prise en charge des clientes quand elle n’est pas à son travail.
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Le métier de prothésiste ongulaire attirant un grand nombre de personnes rendant ainsi ce secteur très concurrentiel, pour Désirée au-delà de l’expertise, il est préférable de posséder les qualités comme : le
sens de la communication et du contact, l’écoute, la rigueur et une vue nette. Même si le métier de prothésiste ongulaire fait le plus appel au sens artistique et la créativité pour Désirée, il est très important d’être à l’écoute de ses clients et être une bonne observatrice, car en fonction du profil de sa cliente, la professionnelle saura imaginer et proposer les vernis, les décorations ou les motifs les mieux adaptés.
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Pour avoir démarré avec un fonds de commerce de 60.000fcfa il y a trois ans, Désirée à force d’épargne a pu ouvrir un second magasin pour toucher d’autres prestations toujours en rapport avec l’esthétique. Ses revenus oscillent entre 20.000fcfa et 50.000fcfa/semaine et un peu plus pendant les moments de fête pour l’onglerie. Ces entrées lui permettent de faire face à ses charges et se constituer une épargne, ce qui l’emmène à dire que le l’activité est lucrative. La seule chose qu’elle déplore, c’est le manque de personnel qualifié et les produits de première qualité limité du fait de la crise sanitaire. Son message à l’endroit des femmes, c’est de prendre soin de leurs ongles, car ils peuvent faire passer un message selon le secteur d’activité.
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Adja